● 2005 à 2007 : Construction des lavoirs:
*Fianarantsoa quartier Antanifotsy-Golf,
*Antsirabe quartier Tsarasaotra,
*Tana quartier Anatihazo avec bloc sanitaire.
● 2008 : 2 bornes fontaines à Ambohitsoa, dont une à l'école
● 2009 : Adduction d'eau à Sahavato 4000 p
● 2011 : Puits de quartier à Sambava
● 2012 : Réhabilitation adduction d'eau : Ambodidivaina, 3 villages
Bloc sanitaire Ambohitsoa,
Annexe cantine Ambohitsoa, avec lave-mains et réserve
Puits pour une EPP à Sambava
● 2013 : Renforcement de l'adduction d'eau
à 2018 d'Ambohitrandriana (l'école 248 élèves),
Extension aux hameaux alentours : 7 villages
Construction d'un bloc WC à l'école d'Ambohitsoa
2014-15 Extension travaux réhabilitation AEP Ambohimitsinjo
● 2016 : Raccordement du lycée et CEG de Manandriana au service des eaux malgache la JIRAMA + borne fontaine.
● Construction d'un petit bloc "douches"fontaine à eau" côté lycée
● Vidange et réparations latrines collège-lycée
● 2022 Construction bloc sanitaire Collège-lycée de Manandriana
Voir page Réalisations , Rapports de missions et "Les Projets"
Madagascar cinquième île du monde en superficie avec 24 313 180 habitants (2017)..
Plus de la moitié de la population n’a pas accès à l’eau potable. Quant à l’assainissement, seul 12% du pays est couvert (zones urbaines)...
Près d'une personne sur deux n'a pas accès à l'eau potable dans le pays. Les répercussions sont désastreuses, indique Lovy Rasolofomanana, directeur de WaterAid à Madagascar : « Au niveau de la santé publique, la diarrhée constitue la deuxième cause de mortalité pour les enfants de moins de cinq ans à Madagascar. Il y a plus de 14 000 enfants qui perdent la vie chaque année à cause du manque d'eau et d'assainissement. »
« Les Malgaches ont depuis trop longtemps subi les dégâts profonds causés par cette injustice et la honte provoquée par le manque d’accès à ces droits humains fondamentaux que sont l’accès à l’eau potable et l’assainissement.
L’accès à l’eau potable ou à des systèmes d’assainissement sont quasi inexistants dans les villages ruraux de Madagascar. Seules les rivières sont utilisées pour la consommation quotidienne ou des sources non sécurisées et polluées par les eaux d'infiltration de la toilette, vaisselle, lessive qui se font juste à côté.
Il y a peu de latrines et ce besoin semble être une préoccupation émergente chez les villageois qui, sans étude technique et sans prise de conscience du devenir des matières ni du problème d'infiltrations vers les nappes, font des trous dans le sol surmontés de planches et sous abri, près de leurs habitations.39% de la population défèquent toujours à l’air libre.
Dans les banlieues des villes, sans urbanisation, des puits se sont installés et des WC de façon anarchique.
Avec l’augmentation de la population cela entraîne une contamination de plus en plus importante des points d'eau naturels. Chaque année, de nombreuses personnes meurent de maladies dues aux eaux contaminées.
De plus la compagnie nationale d’eau et d’électricité, La Jirama, connaissant des problèmes de trésorerie depuis plusieurs années a du mal à faire face à la demande , les installations non entretenues et la déforestation accentuant la sécheresse, concourent à une diminution du débit de l'eau voire à des délestages de plus en plus fréquents en ville même dans la capitale.
A Madagascar, une des problématiques importante de l’accès à l’eau demeure la pérennisation des investissements réalisés. En effet, beaucoup d’infrastructures de distribution d’eau ne sont plus fonctionnelles, très souvent à cause d’une mauvaise gestion. Plusieurs modalités de gestion des services d’eau potable sont proposées par le Code de l’eau et ses décrets d’application. Pour choisir le mode de gestion à adopter, il est indispensable de tenir compte du contexte local et de s’appuyer sur les expériences des acteurs dans ce domaine.
Ce cahier technique rappelle dans un premier temps les grandes lignes du cadre légal, les textes et les dispositions relatifs au mode de gestion de l’eau :
Eau et assainissement: couverture très insuffisante: Lire l'article
L'accès à l'eau potable est un droit fondamental et imprescriptible, tout homme doit avoir la possibilité d’en consommer.
La SEF souhaite aujourd’hui aider les populations malgaches, vivant dans des villages non desservis en eau potable. L’objectif étant de permettre à ces populations de pouvoir consommer une eau saine de façon durable et de limiter ainsi les maladies d’origine hydrique.
Un nouveau bloc WC a vu le jour à l'école d'Ambohitsoa. Et l'accès à l'eau potable a été amélioré et étendu aux hameaux voisins (avec subvention du SVL).
» Améliorer l'accès à l'eau potable du Collège de Manandriana, puis construire un bloc sanitaire pour ces 950 élèves.
» Etude complémentaire des travaux de réhabilitation de l' adduction d'eau autour d'Ambodidivaina dans les autres villages de la commune d'Ambohimitsinjo.
Grâce à nos actions aujourd’hui à Madagascar :
» 10 villages ont de nouveau accès à l'eau potable dans la région de Sambava
» 3 lavoirs ont été construits
» 18 bornes fontaines ont été créées à Sahavato et Ambohitsoa dont 2 pour l'école de 240 élèves
» 2 puits de quartier ont été réalisés à Sambava dont 1 pour une école de 700 élèves
» 4 000 personnes ont accès à l’eau
» 800 élèves de lycée et collège ont accès à l'eau potable à Manandriana, ainsi que leurs équipes pédagogiques et administratives
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